Producteur : Herbert J. Yates, Nat Levine, Armand Schaefer
Scénaristes : Oliver Drake, Dorrell McGowan, Stuart E. McGowan
Directeur de la photographie : William Nobles
Composition musicale : James Branson, Arthur Kay, Leon Rosebrook, Sam H. Stept
Montage : Lester Orlebeck Studio : Republic Pictures
Résumé : En Californie, en 1880, le cavalier du Pony Express, Gene Autry, transporte entre autres l'argent de Dolores Moreno, propriétaire de ranch qui a en désespérément besoin pour rembourser ses dettes. Mais Gene est attaqué et dévalisé, abandonné à pied dans le désert. Pendant ce temps, Dolores a vendu son bétail et prévoit d'élever des chevaux, en utilisant un étalon sauvage nommé "El Diablo" pour établir une bonne lignée. Mais personne n'arrive à le dresser, et il s'échappe dans le désert. Mais ses rênes se prennent dans des rochers. C'est ainsi que le découvre Gene... Lieu de tournage : Olancha Dunes, Olancha, Alabama Hills, Lone Pine, Californie
Informations complémentaires : Sortie États-Unis : 13/04/1936.
Film inédit à Paris. Distribué en province (Sud-Est). Sortie Marseille : 12/11/1937.
Tournage : 25/02 - début mars 1936.
Format : 1.37 : 1
N & B
Mono (RCA Victor 'High Fidelity' Sound System)
Comin' round the mountain, El Diablo, cheval sauvage, 1936, Gene Autry, Ann Rutherford, Smiley Burnette, LeRoy Mason, Raymond Brown, Ken Cooper, Tracy Layne, Robert McKenzie, Dick Botiller, John Ince, Frank Lackteen, James B. 'Pop' Kenton, Jack Montgomery, Artie Ortego, Al Hart, Wes Warner, Joe Yrigoyen, Bob Burns, Laura Puente, Frank Ellis, Alfred P. James, Jack Kirk, Montie Montana, Steve Clark, Hank Bell, Stanley Blystone, Blackjack Ward, Bob Card, Al Haskell, Chuck Baldra, Frankie Marvin, Bud Pope, Jim Corey, Pascale Perry, Roy Bucko, Al Taylor, Mack V. Wright, cinéma, cinefaniac, action, aventures, comédie, guerre, noir, comédie musicale, western, critique, base de données, El Diablo, cheval sauvage DVD, Comin' round the mountain DVD, DVD, El Diablo, cheval sauvage critique, Comin' round the mountain critique, Mack V. Wright critique