Producteur : Harry Joe Brown, Darryl F. Zanuck, Joseph M. Schenck
Scénaristes : Jack Andrews, Robert Carson, Sam Hellman, Horace McCoy
Directeur de la photographie : Lucien Ballard
Composition musicale : Alfred Newman, David Buttolph, Cyril J. Mockridge
Montage : Walter Thompson
Décors : Richard Day, Albert Hogsett, Thomas Little Studio :
Genre secondaire : Film d'Aventures Résumé : Dans les années 1890, John Murdock est devenu bûcheron dans une scierie du Nord de l'Amérique. Son patron lui propose le poste de contremaître, mais Murdock refuse. En effet, il ne vit que par sa vision des oies sauvages qui migrent et n'a qu'un rêve : les suivre dans leur voyage. Il s'est décidé à partir pour Seattle, pour retrouver un ancien ami, Blackie. À son arrivée dans cette ville, il fait la connaissance d'une danseuse de cabaret, Sally... Lieu de tournage : Lake Arrowhead, Big Bear Valley, San Bernardino National Forest, Californie
Informations complémentaires : Sortie États-Unis : 15/08/1941.
Film inédit à Paris. Distribué en province (Sud-Est). Sortie Nice : 27/06/1947.
Tournage : 14/05 - 26/06/1941.
D'après le roman Conjuror's house de Stewart Edward White (édité à New York chez Grosset & Dunlap, 1903), traduit par Léon Bocquet pour Albin Michel sous le titre La Longue traverse (1924).
Format : 1.37 : 1
N & B
Mono (Western Electric Mirrophonic Recording)
Wild geese calling, L'Appel du Nord, 1941, Henry Fonda, Joan Bennett, Warren William, Ona Munson, Barton MacLane, Russell Simpson, Iris Adrian, James C. Morton, Paul Sutton, Mary Field, Stanley Andrews, Robert Emmett Keane, Adrian Morris, George Watts, Charles Middleton, George Melford, Richard Alexander, Jody Gilbert, Lee Phelps, Jack Pennick, C.E. Anderson, Joseph E. Bernard, Nestor Paiva, Paul E. Burns, Jim Mason, Tex Phelps, Charles Ray, Tom London, Al Bridge, John Brahm, cinéma, cinefaniac, action, aventures, comédie, guerre, noir, comédie musicale, western, critique, base de données, L'Appel du Nord DVD, Wild geese calling DVD, DVD, L'Appel du Nord critique, Wild geese calling critique, John Brahm critique